Résumé :
Nom de code: Madlax.
Profession : tueuse.
Âge : inconnu.
Sexe : F.
Pas de nom, juste une réputation de redoutable machine à tuer qui exécute des missions spéciales sur les terres d'un pays ravagé et rongé par la guerre civile depuis une douzaine d'années. D'un tempérament froid aux premiers abords, l'héroïne s'avère être en fait une tueuse au grand coeur dotée d'un fort charisme et d'un charme redoutable.
En parallèle, une petite fille du nom de Margaret Burton issue du milieu aristocratique et sous la tutelle de sa gouvernante Eléanor semble souffrir d'une profonde amnésie voire d'un repli sur elle-même, suite à un choc psychologique sans précédent: la mort de ses parents dans un accident d'avion auquel elle a échappé miraculeusement.
Qui est Madlax ? Qui est Margaret Burton ? Pourquoi Margaret a-t-elle perdue la mémoire ? Pourquoi Madlax ne se rappelle plus de son enfance ? Ces deux personnes ne se connaissent pas, mais quel est donc ce lien qui les relie irrémédiablement ?
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Critique :
Le studio qui a créé Madlax n’est autre que le studio d’où est originaire Noir. A première vue, la ressemblance est donc extrêmement frappante et pourrait même en rebuter certains. Mais, Madlax a un certain charme différent de Noir. Et c’est ce charme qui fait que l’on s’attachera ou non à Madlax.
Concernant l’animation, elle est très fluide et tout à fait correcte. Il faut voir comment s’exécutent les fusillades pour être tout de suite impressionné. Le dessin est lui aussi magnifique, mais il faut surtout donner un bon point pour les couleurs qui jouent beaucoup pour l’ambiance et la beauté de cette série. Même s'il y a une ressemblance avec Noir, l’histoire est bien différente. Elle est assez bien construite pour que l’on s’investisse dedans et que l’on se pose certaines questions au fur et à mesure de son avancement.
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